V R P gloutonne

Catégories : Rencontres LIBERTINS candaulistes Femmes rondes Plaisir des yeux Libertins
il y a 5 ans

V R P. Représentante en produits industriels. Dit comme ça, je me sens une autre femme. Je suis sur le sentier de la guerre du matin du lundi au vendredi soir. Ce qui ne signifie pas que je reviens à la maison en fin de semaine, je peux me trouver à l'autre bout de la France, je reste sur place. Je ne me plains pas, d'un coté je suis libre, de l'autre j'ai des avantage : je fais ce qui me plaît toujours, voyager, prendre du bon temps, enfin le soir et la nuit, parce qu'après c'est le job, le job, le job. !!!!!

Il est rare le soir où je reste seule. Je ne suis pas différente des autres : j'aime certains penchants de la vie avec ce qu'elle donne de meilleur. Je vais essayer de raconter ma semaine :

Lundi :

Ma journée démarre bien, je sors de la boite avec une belle commande, mes commissions augmentent bien pour le début de la semaine. Je suis fière de moi d'avoir bien vendu ma marchandise. Je descends encore dans cet hôtel. Il n'est pas extraordinaire comme confort, pour une nuit je me contente d'une simple douche avec sanitaires. Le lit est correct, la chambre au calme, ce que je demande toujours. Le restaurant est plein quand j'y arrive. Le patron qui me connaît un peu me propose de partager une table avec un monsieur.

Je suis bien tombée : mon voisin est du genre calme, la quarantaine, bien mis. Nous bavardons de tout. Il me fait bien un peu de plat, l'inverse ne m'aurait pas plut. Il évite surtout ces « vous être belle, je passerais bien la nuit avec vous ». Il le pense sûrement, comme moi. N'empêche que c'est vrai, je me le ferrais bien. Il me plaît bien. Il me propose un café en fin de repas. J'accepte : nous flirtons bien un peu. La salle se vide. J'ai de plus en plus envie de lui, disons que j'ai envie de tirer un coup.

Nous montons ensemble vers les chambres. Il s'arrête sur le palier du premier, me prend dans ses bras pour m'embrasser, je résiste un peu et cède devant son « instance ». Il embrasse fort bien, sa langue sait exactement ce qu'elle doit faire et quand. Je me laisse faire volontiers. Il se doute de la chose quand il se colle à moi. Je sens sa queue grossir contre mon ventre. Le salaud, il m'excite bien.

Chez toi ou chez moi ?

Où tu veux.

Ainsi en moins de 10 minutes nous choisissons notre nid. C'est chez moi : je préfère, j'y ai mes affaires (préservatifs, godes, gel spécial) Il attend un moment avant de poser ses lèvres sur moi. Il est du genre patient, tant mieux. Je lui fais enlever sa veste qu'il pose sur une chaise. Sa chemise bien repassée montre un homme d'ordre. Il vient à nouveau m'embrasser. Son baiser est délicat, on dirait presque une fille. Sa langue par contre ne fait pas de cadeaux, elle entre profondément.

Il bande de plus en plus. J'hésite beaucoup à le lui toucher. J'attends qu'il commence. C'est ce qu'il fait en changeant sa bouche de place, il me caresse les épaules et descend doucement vers la poitrine. Il se presse contre moi, je le sens d'avantage. Je ne l'ignore plus en me collant à lui. Une main est sur une fesse qu'il pétri doucement. L'autre descend toujours, il la mise sur le pubis. Il monte le bas de la robe avec ses deux mains opposées. Je le laisse faire, je commence moi aussi à toucher son pantalon:quand il pose sa main sur le haut de ma jambe qu'il dévie vers mon intimité, je n'hésite plus je prend sa queue à pleine main, je la masse. Elle grossit encore. Cette fois j'ai envie qu'elle entre dans ma chatte.

Il arrête tout pour me sortir de la robe. Il est un peu étonné de me voir simplement avec un string. Il le fait tomber, je suis nue, totalement nue devant lui encore habillé. Je m'attend à ce qu'en se relevant un peu il fasse un arrêt de politesse sur le pubis. Il se met nu à son tour. Je ne regrette pas le bonhomme. Il a une bite bien droite, pas énorme, comme je les aime avec des couilles peu poilues, bien membré, pas un athlète non plus, un type normal. Il me couche doucement sur le lit. Par conte maintenant il me caresse partout à la fois. Je vais être sa maîtresse, il faut qu'il en profite de suite. Une main sur ma chatte sait trouver rapidement le petit bout de chair sensible. En plus il sait le manipuler. Je sursaute quand il me masturbe comme il fait. J'ouvre les jambes à la recherche du plus de plaisir possible. Lui fouille mon sexe avec les autres doigts. Je pars brusquement surprise par une caresse plus profonde. Je n'avais pas baisé depuis la semaine d'avant, sans doute ce qui fait que je suis chaude au possible. Il entre doucement un puis deux doigts dans le vagin. Il lime mon intérieur avec succès : il me fait encore jouir.

Il est entre mes jambes, sa tête tendue vers mon sexe. Il met en route sa langue. Il me lèche entre les cuisses en passant de l'une à l'autre avant d'aboutir à son but. Il est doux quand il me lèche partout le sexe en entier en revenant là où il m'a déjà caresser. Bon bouton est consentant quand il le lèche encore. Il me fait jouir sans cesses. Il va me prendre pour une nymphomane.

Il passe la langue dans le sexe, heureusement qu'il va plus bas. Il lèche toujours en arrivant sur le petit trou. Il sait bien lécher le périnée, pour aboutir à cet endroit sensible comme le mien un de mes favoris pour jouir. Sa langue met longtemps pour entrer. C'est comme une petite bite en plus agile. Mon cul se laisse faire. Mon être répond par un autre orgasme.

Il vient sur moi, je sens que le bout de sa bite veut entrer. J'arrête tout pour lui mettre avec la bouche la protection. J'ai le temps pour le goutter un peu (il sent le fauve en rut) et le sentir : comme un reste de pisse. Je garde la pine dans la main pour le diriger. Je fait quelques aller et retour sur la chatte. Je ne saurais le faire longtemps, je jouirais encore !

Enfin il me baise. Son morceau écarte mon vagin. Il est lent dans sa pénétration. Je ferme les yeux, perdue dans le plaisir. Nous entamons ensemble les va-et-vient. Notre couple est uni dans le plaisir qui monte. Je jouis bien avant lui. Il me tourne. Sans rien dire je sais ce qu'il vise. J'en ai envie aussi de ce coté.

Il passe sa pine dans la rangée des fesses. Je sens son bout mouillé par ma cyprine venir lentement sur mon anus. Il se pose dessus sans entrer. Il m'embrasse sur la nuque, me lèche les épaules, les aisselles. Il écarte l'anus lentement. Il sait sodomiser. Je sens mon cul s'ouvrir seul quand il entre. C'est encore meilleur avec lui. Il est dedans, il s'y loge, je prends mon pied. Je réalise à cet instant que j'ai oublié le gel spécial. Je part dans un orgasme gigantesque. Lui aussi jouit, je sens son éjaculation. Je ne voudrais pas qu'il sorte de mon corps. Hélas, la nature masculine ne m'écoute pas ; il est débandé en sortant de moi. Je ne peux que lui retirer le morceau de plastique pour le prendre 5 minutes dans le bouche pour essayer de le ranimer. Je sais que c'est sans espoir. Il se rhabille pour partir avec un dernier baiser.

J'ai encore envie : je me sert du gode que je me met dans le cul pur revenir sur ce qu'il n'a pas pu terminer. Je jouis une dernière fois de la nuit.

VRP (2° partie)

Mardi. Je change de secteur pour me trouver vers des industriels rétifs aux nouveautés. J'arrive après des heures de discutions ardues à faire comprendre l’utilité pour leur rentabilité de mes produits lourds. Je ne rejoint un hôtel que fort tard. Il reste une seule chambre la plus chère, la plus luxueuse. De toutes façon c'est ma boite qui paie, elle n'est pas très regardant sur mes frais de séjour du moment que j'apporte des commandes. Le service est terminé, la patronne me propose de passer avec elle en office pour préparer un frichti convenable. Elle m'installe sur une petite table, propose un rien comme dîner : une omelette aux truffes, un vin de Cahors, un dessert à sa façon. Sans minauderie elle s'installe en face de moi. Elle montre sous son débardeur deux grenades mures, ses cuisses à peine couvertes me font découvrir tout en haut le début d'une chatte prête à des exploits que j'aime bien. Si hier je me donnait à un amant actif, là je pouvais, si elle le voulait me montrer à mon avantage.

Sans baisser les yeux, elle me regardait bien en face. Un je ne sais quoi montrait qu'elle avait une envie certaine. J'avais presque fini de manger quand elle propose un café à sa façon. J'ignore totalement de quoi il s'agit. Elle porte deux tasses, l'une avec un gâteau sec qu'elle suce comme elle ferait avec un clitoris ? Je sorts le bout de ma langue que j'agite comme si je léchais son bouton. Elle me sourit largement. Elle a trouvé celle qu'elle cherchait depuis je ne sais combien de temps. Moi je trouve une partenaire possible. Il y a déjà un moment que je n'ai pas eu de femme dans mon lit.

-Viens avec moi.

  • Dans ma chambre ?

  • Qui parle de ta chambre ? Je préfère chez moi : je suis célibataire.

Célibataire, tiens donc, libre de faire ce qu'elle veut. Je me demande qu'elle réputation, mauvaise, elle a dans le village. Nous montons au dernière étage : sa chambre est immense, on pourrait y faire une partouze sans problème. Enfin elle fait se que j'attends d'une future amante qui m'a draguée, elle m'embrasse à sa façon : ses lèvres emprisonnent ma bouche, sa langue les caresse. C'est inédit et agréable. Je la serre par le cou.

Enfin nous nous embrassons normalement. C'est ma langue qui donne le coup d'envoi des badinages incorrects. Ses tétons sortis depuis le début me tentent. Je les caresse l'un après l'autre. Je suis tentée depuis les préliminaires par ce que j'ai vue à l'ouverture de son compas : une chatte un peu velue, sans trop, entretenue, c'est certain. Tant pis si elle me repousse, je colle ma main sans avertissement sur elle, entre ses jambes. Elle s'offre depuis le début. J'y trouve une endroit humide, presque trop. Ses lèvres me paraissent énormes avec un clitoris qui en ressort. Elle est bien munie pour un match à deux femmes, en ayant de fortes chances de gagner.

Si je commence à fouiller son corps, elle aussi est sur moi, elle caresse à peine la poitrine. Elle s'attarde surtout sur mon dos et ce qu'il y a juste en dessous. Elle aime bien caresser les fesses. Il s'y prend plutôt bien. Elle remonte ma jupe, fait descendre le string juste le nécessaire. Elle a un accès ouvert vers le boulevard de la raie. Elle écarte les fesses. Je suis trempée. Elle agit comme un homme qui voudrait me sodomiser. Sauf qu’elle propose, n'impose pas. Sa proposition me plaît, même en début d'intimité comme la notre. Elle aime les filles, c'est certain, elle aime les dominer aussi. Ça ma va. Je suis devenue une poupée pour elle. C'est ma dominante. J'aime bien de temps en temps me soumettre ainsi. Normalement c'est une homme muni d'une belle queue qui le fait. Ses doigts courent sur la raie, ils me donne envie de la suite.

Elle agit comme un homme en me faisant m’asseoir sur ses genoux. Elle n'attend pas pour passer une main entre les jambes. Je les laisse s'ouvrir, anxieuse de la suite. Elle est très douce en caressant, en remontant doucement, trop doucement vers mon compas. Elle enlève complètement le string : j'ai presque froid à la chatte. Ses doigts ne se pressent pas, ils suivent un lent cheminement pour aboutir enfin là où je les attends depuis longtemps. Je pousse mon ventre vers sa main.

Le clitoris enfin est visé. Elle prend entre deux doigts, elle me manœuvre comme une petite bite. Je suis tendue sous la caresse particulièrement inhabituelle de la chose. Son autre main passe aussi entre mes jambes. Il me semble qu'elle en prend pas la même direction, elle revient là où elle était avant. Elle caresse le périnée, me laissant entrevoir des paradis que j'aime. Le petit trou est à peine touché, à peine caressé. Je voudrait qu'elle s'y arrête, qu'elle y entre. Je n'ose pas le lui demander, comme une petite file n'ose pas demander la sucette qu'elle adore. Elle s’aperçoit enfin de mon vœu. Elle pose son doigt sur le cul, elle caresse gentiment l'anus que j’ouvre un peu. Elle le sent, elle commence à entrer à peine le doigt. Elle arrête pour changer de doigt. Ça y est, elle entre, elle écarte mes tissus. Je me donne à elle, je me laisse sodomiser par une femme. C'est bon, délicieux incomparable. Elle tringle, lime mon derrière.

Je l’embrasse, heureuse de sa double caresse. Je ne sait même pas laquelle est la meilleure, devant ou derrière. Au fond, je m'en fiche du moment qu'elle me donne des orgasmes. Je suis obligée de lui demander d'arrêter un moment. Elle me fait coucher, vient sur moi, m'embrasse comme le fait un homme, passe ses mains sur le corps et descend sa bouche sur les seins, le ventre, le pubis. C'est sa langue qui est en moi. Elle me goûte la cyprine : j'en ai à revendre dans le vagin. Elle m'enjambe. Cette fois c'est moi qui peux goûter son sexe. Elle a une odeur bizarre que je ne peux définir, le fait peut être d'être mal lavée. Je lèche avec toute la largeur de la langue. J'ai passé le cap du bouton, celui du vagin, je vais sur son cul. J'adore les culs féminins, ce sont pour moi la quintessence des femmes, mieux qu'un simple con. Et c'est facilement pénétrable après un moment de refus toujours poli qui fini par une approbation..

Je la tiens pas les hauts et derrière des cuisses, ma main droite dans sa chatte que je ravage de caresses particulièrement tordues et ma langue sur l'anus. Elle sait ce qui l'attend. J’attends son refus qui ne vient pas.

J'adore enculer les lesbiennes : elles font celles qui ne le veulent pas, elles font les saintes nitouche. Mais quand l'instrument est là, elle ne me refuse jamais l'entrée. Son cul, à elle, est de ceux là. Ma langue ne f o r c e pas du tout pour entrer. Je prend mon plaisir en entrant dans son anus. Elle jouit rien que de me sentir pénétrer.

Je ne ménage pas les aller et venues. Je sens son cul s'ouvrir et se serrer sur la langue. Elle réagit normalement, comme je le fais quand je suis enculée.

Elle ne subit rien, elle me rend ce que je fais. Je sens qu'elle n'a pas l'habitude de lécher les culs. Je l'aide comme je peux. Enfin elle laisse de coté ses préventions, sa langue f o r c e un peu pour entrer. Ainsi notre 69 n'en est pas exactement un.Nous ne léchons pas le sexe de l'autre. Nous jouissons autrement simplement. Elle me surprend en me faisant jouir la première. Je sens les spasme autour de mon anus. Je sens les siens rapidment après. Que c'est bon de baiser une fille qui prend son pied. Presque aussi bon qu'un homme.

Je suis partie le lendemain en lui promettant de passer souvent. Je n'ai pas payé la chambre.

VRP Suite 3

Ouf une bonne journée. En plus le directeur de la boite que j’ai m’invite ce soir. Je n’ai rien contre : il est sympathique, mignon en plus. Il me semble assez débauché, ce qui me changera des gars sérieux qui ont avalé un parapluie. Bon je suis un peu gênée, comment m’habiller pour la soirée. Je décide que je serais une femme pleine de charmes. Alors, je suis nue devant la glace, je sors de la valise un culotte en dentelle que je mets de coté, un soutiens gorge que je remets dans la valise. Ma jupe courte fera l’affaire sur des bas avec mon string bijou qui entre dans le vagin, me donne des sensations forte quand je serre mes muscles vaginaux. Une mention spéciale pour son inventeur. Je prends également de quoi embellir mes fesses avec un autre bijou souvenir d’une amante généreuse.

En attendant le moment de partir je me garni la chatte avec des boules de geisha que j’ai trouvé un soir de cafard dans une boutique. Belles boules, effet maximum. Je passe sous la douche, je me masturbe longtemps avant d’entrer mes boules. Je suis parée à n’importe qu’elles jouissance. Je suis devant la glace, toujours nue, je me tourne pur bien voir mes fesses. Je pose le bijou prévue : je me fis de l’effet seule. J’enfile le string particulier, je serre mes muscles pour vérifier le plaisir. C’est vrai je sens monter un orgasme. Mes boules ont fonctionné comme des grandes.

Ce soir je suis prête je me prépare à jouir, jouir, encore jouir. Je suis capable de mettre sur la tapis celui qui m’a invité si gentiment à baiser, sans le dire bien sur, je suis une dame, pas une pute, voyons. Une dernière visite à la glace avant de partir : mes seins nus sous un marcel qui fait bien sortir les pointes, la jupe ultra courte, le string et le plug : je suis parée à la baise. J’espère qu’il aura prit des vitamines et du viagra. Je suis disposée à le vider de tout son sperme. Sa queue doit bien se tenir quand je la lui boufferais.

Il a indiqué le parcours que j’ai à faire. Je n’ai pas voulu qu’il vienne me chercher à l’hôtel, il serait capable de venir la prochaine fois sans que je veuille ou puisse le recevoir pour de multiples raisons : je peux être avec quelqu’un d’autre, indisposée ou simplement pas envie (ce qui est rare chez moi)

La route est cahoteuse. Tant mieux, mes billes font leur travail, je suis même obligée de ralentir le temps d’une jouissance rapide. Ce que j’ai mis dans le vagin agit fort bien, je le remettrais souvent, quand au cul, toujours pareil quand je jouis : j’en ressens encore plus de plaisir à moins que j’y ai une belle queue. Qui sait tout à l’heure il me la mettra au cul ?

J’arrive enfin, c’est presque un château derrière de grande grille. Le portail s’ouvre dès mon arrivée. Je monte les quelques marches et la porte s’ouvre devant une magnifique métisse pas très grande, mais nue, totalement nue sauf une ceinture en chaînette sur la taille qui descend un peu vers le sexe épilé. Il ne m’avait pas dit qu’il avait de genre de domestique, si c’est une domestique. Elle me fait entrer dans ce qui doit être le salon. Il est là, en tenue décontractée. Il s’approche de moi, m’embrasse sur les joues, me demande comme je trouve Arielle. Il me rassure, Arielle est sa femme. Elle participe des fois quand de belles dames sensuelles comme moi sont là, elle aime autant les hommes que les filles sans parler de ses coups pour son propre corps. Je comprends donc qu’elle est une adepte de la masturbation. Nous avons le même dieu. Je suis tombée sur un drôle de couple.

Arielle se présente à moi par un baiser léger sur la bouche. Nous allons donc participer à un trio. Je mouille rien que de m’imaginer dans les bras de la métisse et les siens. Il est presque 21 heures. Nous devons passe à table. Je passe vite fait dans les toilettes retirer les boules de geishas entièrement « salies » par mes sécrétions. C’est lui, Henri qui me fait assoir, il accompagne sa femme.

Il est en train de m’exciter. Je remue mon bijou pour me soulager. Je jouis deux fois ainsi. Je crois qu’Arielle le voit. Elle me demande gentiment :

  • Vous ne voulez pas vous isolée pour jouir un peu.

  • Merci je viens de le faire.

  • Comment ?

J’explique ce que j’ai dans mon intimité. Elle voudrait le voir. Son intérêt est grand pour les jouets sexuels, elle dit en posséder une bonne dizaine, ce qui est confirmé par Henri.

Le repas est vite prit. C’est Arielle qui ouvre les hostilités en se mettant sur la table, debout, en écartant les cuisses pour monter sa chatte. C’est vrai que de la voir nue comme au début, j’ai perdu le fil, je ne la voyais plus comme une femme.

Elle est totalement nue, les jambes qui s’ouvrent au fur et à mesure qu’elle se penche en arrière. Sa vulve même s’ouvre. Je vois, placée comme je suis tout jusqu’à son petit trou. J’ai encore envie de jouir, surtout qu’elle vient tout près de moi :

  • Mon mari t’oublie je vais m’occuper de toi.

    • Comment ?
  • Tu n’as jamais baisé de filles ?

  • Si, bien sur et tu voudrais que nous deux…..

  • Si tu veux baiser avant avec la queue de mon mari, demandes la lui. Il te la donnera facilement, je sais qu’il bande.

Je suis surprise du tour que prend la réception. Où je baise longuement avec une femme chaude ou je tire un coup. Mais je perds l’occasion de me faire sodomiser. Je laisse faire le sort des adorateurs de Vénus. Elle repique au truc :

  • Tu aimes te faire enculer ? Moi j’adore. Laisses lui un peu de f o r c e pour qu’il me le fasse aussi.

  • -Il faudrait un autre homme ici. Deux filles ne suffisent pas. Il en faudrait au moins une autre

  • Tu ferais comme moi. J’ai envie aussi de lécher un con, le tien si tu veux. Ensuite on se fera baiser par Henri. Il tient bien le coup.

Jouer la lesbienne avec Arielle ne me déplait pas avec sa peau mate, un peu foncée. En plus ce que j’ai vu de sa chatte est engageant, je me vois déjà la langue au fond de ses trous. Et elle est ce qu’elle sait réellement baiser une femme. A son âge, la trentaine bien entamée elle ne doit pas être une oie blanche. Elle vient s’asseoir sur le bord de la table presque en face de moi. Elle me tente ou me soupèse. Sa jambe se colle à mon bras. Sa peau est douce, elle me donne envie d’elle. Je prends la jambe, la passe devant moi, je l’ai ainsi à ma disposition. Elle prend ma tête, l’incline vers son entrejambe. Je sens déjà ses odeurs intimes, ma langue goûte sa cyprine. Je commence à la lécher comme si elle était fragile. C’est que je me régale de son jus qui coule en abondance dans la bouche. Henri ne nous regarde plus, il s’est levé, il est tout près de nous.

Il est nu depuis un moment, il se masturbe doucement. Que j’aime voir un homme se taper une queue devant moi.Arielel est penchée en arrière retenue par les mains posées sur la table, à coté de mon assiette. Dans un geste de confiance, elle passe ses cuisses sur mes épaules ; ma tête est entièrement dans sa fourche, les oreilles coincées par les cuisses. Elle coule toujours en abondance, j’envie Henri quand il le baise il doit recueillir son jus.

Je continue mon léchage, je me masturbe pour compenser la langue d’Arielle. Henri a disparu sous la table, elle écarte ma main. Sa bouche vient se coller à moi. Il aspire toute la chatoune. Il me semble qu’il me vide totalement en avalant mon con. Qu’il lèche bien ensuite. Je ne sais plus comment faire, me faire sucer et sucer une autre fille. Mon Dieu que l’amour à trois est bon.

Je jouis, Arielle jouit de son coté, reste la queue d’Henri à vider. Nous pensions le faire à deux, il se lève en nous invitant dans la chambre sous prétexte de confort.

Il a raison. Je rependrais mon récit après

VRP 4° partie

C’est Arielle qui entre la première dans la chambre. Je vois ses magnifiques fesses se dandiner en entrant. Henri la suit, sa queue haute qui, à cause de la marche, vadrouille dans tous les sens. Sa bite est belle, régulière depuis la fin du gland vers le bas ventre, là elle grossit un peu. Le gland lui est un peu trop v i o l et à mon gout. Elle est bien près des fesses l’Arielle.

J’ai encore le bijou anal. Je ne sais le quel des deux aura l’honneur de m’enlever le plug. Arielle disait tout à l’heure que Henri était très résistant ou moins pour nous deux. J’espère qu’elle ne se trompe pas, qu’il pourra me la mettre au cul au moins une fois. J’aime tellement la sodomie.

Henri se tourne, en gentleman il nous installe sur le lit. Il est entre nous, ses mains s’occupent déjà de nos corps. Je ne peux voir ce qu’il fait à sa femme. Moi, il caresse l’intérieur des cuisses en montant doucement vers la chatte. Il me fait mouiller. Je rends sa caresse à ma façon : je prends gaillardement sa pine dans ma main droite. Elle est dure, dure et souple à la fois. Je fais descendre le prépuce lentement. J’ai l’aide attendue d’Arielle qui comme c’est normal s’occupe des affaires de son mari. Mais elle me semble surtout préoccupée de mon bien être, je suis l’invitée après tout.

Elle se lève, vient vers moi me renverse sur le lit. Je me couche en donnant ma fourche à sa bouche. Sa langue lèche l’intérieur des jambes. Elle monte doucement, trop doucement. Je la sens contre mes lèvres. Elle les caresse lentement en fait le tour plusieurs fois en lesbienne consommée. Elle ajoute ses doigts. Sa fouille sans exclusive fait qu’elle vient sur le petit trou encore affublé du bijou qui en ferme l’entrée. Je ne sais comment elle fait, elle me l’enlève doucement en me faisant jouir avec ses dents. Elle revient à ses premières amours, mon sexe. Elle mordille le clitoris, m’arrachant des soupirs aigus. Elle doit avoir ma cyprine sur son visage.

Henri se met de la partie. Il vient m’enjamber à hauteur des seins. Sa queue s’approche dangereusement de ma bouche. Il fait comme s’il f o r ç a i t alors que je suis prête à tout ce qu’il veut. Oui, il la met sur mes lèvres. J’y renifle des odeurs de male. Ma langue ne peut lécher que ce qu’elle trouve : le haut du gland. Le méat en fait les frais. Je ne peux évidemment pas y entrer. Il avance et cette fois je peux pomper le dard en entier. Il occupe bien ma bouche.

Mes deux extrémités sont occupées en haut par le mari en bas par la femme. Je suce la queue d’Henri. Elle est bonne à lécher. J’arrête souvent, je veux bien qu’il jouisse, mais pas de suite, qu’il profite de la langue quoique Arielle doit lui faire de sacré bonnes fellations. Je ne peux l’empêcher de grossir, d’éjaculer dans la bouche. Il me n’a rien dit avant, il savait que j’allais aimer son jus dans le bouche, ce qui est le cas. J’en avale un peu, j’en mets de coté dans une joue. Je me laisse aller à un orgasme de plus.

Arielle vient près de moi, veut m’embrasser. Ma langue lui donne le reste de sperme de son mari. Elle le déguste avant de me donner sa langue. Nous repartons dans un de ses baisers de filles qui n’en finissent jamais. Nous nous touchons partout, comme pour une redécouverte. Henri est oublié. Nous nous mettons en 69, ainsi nous pouvons donner ensemble le même plaisir et surtout voir toute la chatte de l’autre ou en plus le petit trou, objet de nos chimères.

J’aime voir de près de trou ridé, sensible pour qui sait le caresser .Et moi, en plus, j’aime y mettre ma langue. Arielle le sais, je le lui ai fait tout à l’heure à table devant Henri son mari. C’est le seul à qui je n’ai pas fait minette à son anus. Il faut réparer ça tout à l’heure. Il ne pourra penser qu’une belle salope lui a fit une chose rare que certainement Arielle ne lui a jamais faite : c’est rare entre époux.

Je descends totalement ma bouche pour aller sur son cul. Il est souple, preuve s’il en ait qu’elle se fait souvent mettre dans le cul. Je pointe la langue, je le, je touche le paradis. Le bout de la langue fait le tour plusieurs fois du trou du cul. Arielle n,e se défend pas, elle ouvre au muscle contraire son arrière train. J’entre dans un cul élargi pas l’usage. C’est inespéré d’entrer si faciment. Elle gémit, se passe un doigt sur le bouton pour compléter son plaisir, j’aurai du le lui faire. Elle entre sa langue à donf dans la vulve : je jouis encore. Uns fois de trop peut-être ?

Henri est remis, il bande encore ne fois, sans doute Arielle se souvient de ses devoirs .d’épouse. Elle se couche sur le lit. Lui vient sur elle, non pas pur la baiser mais pour se faire sucer. Elle le prend dans ses lèvres, j’engame presque jusqu’au bout. Il lui baise la bouche, me laissant seule.

Quand on laisse ne femme seule, elle fait des bêtises. Ces mon cas, je vais derrière lui, écarte ses fesses. Il se laisse faire, pensant que j’ailais lui mettre des doigts dans le cul ; j’y mets bien la main, plus bas que prévu, je caresses ses couilles. Je pose ma tête entre ses fesses, je sors assez de langue pour lécher son cuul. Il est poilu, ce n‘est ops un problème quand je trouve l’entrée. J’entre ma langue en profondeur. IL doit aimes ça : il jouit quand je suis au fond d son cul d’homme ;

Nous avons fait assez de baises.

Si je passe dans la région, j’ai promis que je reviendrais baiser avec ce couple coquin.

Fabriss34

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement